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Apostats.fr — Versets du Coran sur la Pédocriminalité et les Aspects Non Punis

Voici une liste de versets du Coran souvent cités comme n'interdisant pas explicitement ou abordant la pédocriminalité. Chaque passage est présenté avec son contexte, suivi d’une explication détaillée mettant en lumière les implications, avec des perspectives critiques et apologétiques. Les références utilisées permettent d’appuyer l’argumentation et d’offrir au lecteur les moyens de vérifier, comparer et approfondir les points évoqués. Ce contenu est purement analytique et ne promeut aucune forme d'exploitation.
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Règles de divorce pour les femmes n'ayant pas encore leurs règles
Le verset 4 de la sourate Le divorce prescrit une période d'attente (idda) de trois mois pour les divorcées n'ayant pas encore leurs règles (pré-pubères) ou ayant cessé d'en avoir, ce qui implique que des mariages avec des filles pré-pubères sont envisageables, car le divorce est réglementé. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les divorces dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cela légitime implicitement les mariages d'enfants, sans interdire explicitement la pédocriminalité sexuelle, ce qui contredit les normes modernes de consentement et de maturité [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, où les mariages précoces étaient courants, mais il est perçu comme problématique dans les contextes modernes [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset concerne des cas rares, comme les veuves ou les mariages non consommés, et que la 'maturité' est implicite, contrastant avec les critiques qui y voient une faille permettant des abus [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne spécifie pas d'âge minimum, renforçant les préoccupations sur l'absence de punition claire pour la pédocriminalité. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent l'idda comme une mesure divine pour protéger les droits des femmes, mais sans aborder la question des mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à la piété, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives dans certaines interprétations [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des hadiths comme celui du mariage de Aisha, renforce une vision prémoderne incompatible avec l'éthique contemporaine [Reddit].
Mariage après épreuve de maturité pour les orphelins
Le verset 6 de la sourate Les femmes stipule que les tuteurs doivent tester la maturité des orphelins avant de leur remettre leurs biens et de les marier s'ils sont jugés matures. Révélé à Médine, ce verset visait à protéger les orphelins dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, notent l'absence d'un âge minimum explicite, suggérant que des mariages précoces pourraient être autorisés sous prétexte de 'maturité' subjective, ouvrant la porte à des abus pédophiles [WikiIslam]. Une analyse académique souligne que ce verset reflète les normes du 7e siècle, où la maturité était évaluée différemment, mais il est perçu comme problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, arguent que la 'maturité' implique une capacité mentale et physique, excluant les abus, et que le verset protège les orphelins, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne définit pas clairement la maturité, ce qui peut permettre des interprétations abusives. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure de justice, sans aborder explicitement les mineurs [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des protections sociales, mais les critiques sur Quora ou Reddit soutiennent que l'absence d'âge minimum peut justifier des mariages précoces abusifs [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Aucune idda pour les mariages non consommés
Le verset 49 de la sourate Les coalisés stipule qu'aucune période d'attente (idda) n'est requise pour les mariages non consommés, ce qui implique que des mariages avec des enfants (non consommés) sont envisageables sans conséquences. Révélé à Médine, ce verset visait à faciliter les divorces dans des cas spécifiques. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette absence de période d'attente laisse une lacune ne punissant pas les mariages pédophiles non consommés, contredisant les protections modernes contre l'exploitation des enfants [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les normes du 7e siècle, mais il est perçu comme problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset protège les femmes en simplifiant les divorces non consommés, sans impliquer de pédocriminalité, contrastant avec les critiques qui y voient une faille permettant des abus [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne spécifie pas d'interdiction explicite pour les mariages avec mineurs. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure de clémence, sans aborder les implications pour les mineurs [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et ne promeut pas la pédocriminalité, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence de safeguards explicites peut permettre des abus dans certaines interprétations [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec l'éthique contemporaine [Reddit].
Interdiction de marier des polythéistes, mais pas d'âge minimum
Le verset 221 de la sourate La vache interdit les mariages avec des polythéistes, mais ne spécifie pas d'âge minimum pour le mariage, laissant la possibilité d'unions avec des mineurs musulmans. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les alliances religieuses. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, notent que cette absence d'âge minimum, combinée à des traditions comme le mariage de Aisha à 6 ans (consommé à 9), peut légitimer la pédocriminalité dans certaines interprétations [WikiIslam]. Une analyse académique souligne que ce verset reflète les normes du 7e siècle, mais est problématique dans les contextes modernes [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset concerne uniquement les alliances religieuses et que la maturité est implicite, contrastant avec les critiques qui y voient une faille permettant des abus [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas explicitement d'âge minimum, ce qui peut permettre des mariages précoces. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure religieuse, sans aborder les mineurs [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et ne promeut pas la pédocriminalité, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des hadiths, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Mariage avec esclaves féminines, sans âge spécifié
Le verset 25 de la sourate Les femmes permet aux hommes d'épouser des esclaves féminines chastes, sans mentionner d'âge minimum, ce qui implique que des esclaves mineures pourraient être concernées. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les mariages avec des captives dans une société esclavagiste. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, soulignent une vulnérabilité accrue pour les mineures esclaves, sans punition explicite pour des abus sexuels, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique dans les contextes modernes [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset protège les esclaves en encourageant le mariage, et que la chasteté exclut les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne spécifie pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des protections sociales, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'âge minimum peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Relations sexuelles avec esclaves permises
Les versets 29 et 30 de la sourate Les voies d'ascension stipulent que les croyants gardent leur chasteté sauf avec leurs épouses ou esclaves ('ce que leur droite possède'), autorisant ainsi des relations sexuelles avec des esclaves sans mariage formel, sans spécifier d'âge minimum. Révélés à La Mecque, ces versets glorifient la chasteté sélective dans une société esclavagiste. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, y voient une légitimation potentielle de l'exploitation sexuelle, y compris pédophile, des esclaves mineurs, sans interdiction claire [WikiIslam]. Une analyse académique note que ces versets reflètent les normes du 7e siècle, mais sont problématiques aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ces versets encouragent la moralité dans un contexte esclavagiste, et que la chasteté exclut les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une permission divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ces versets sont contextuels et liés à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ces versets, combinés à des pratiques historiques, reflètent une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Chasteté sauf avec épouses ou esclaves
Les versets 5 et 6 de la sourate Les croyants stipulent que les croyants préservent leur chasteté sauf avec leurs épouses ou esclaves, sans spécifier d'âge minimum, ce qui implique une tolérance potentielle pour des relations avec des mineures esclaves. Révélés à La Mecque, ces versets définissent les vertus morales dans une société esclavagiste. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, notent l'absence d'interdiction explicite pour la pédocriminalité dans le contexte de l'esclavage, reflétant des normes du 7e siècle [WikiIslam]. Une analyse académique souligne que ces versets sont contextuels, mais problématiques aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ces versets promeuvent la chasteté et excluent les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une permission divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ces versets sont contextuels et liés à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ces versets, combinés à des pratiques historiques, reflètent une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Relations avec captives mariées permises
Le verset 24 de la sourate Les femmes autorise des relations sexuelles avec des captives de guerre (même mariées) après leur période menstruelle, sans spécifier d'âge minimum, ce qui pourrait inclure des mineures captives. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les relations avec les captives dans une société guerrière. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, soulignent une faille pour l'exploitation pédophile en temps de guerre, sans punition explicite, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset protège les captives en réglementant les relations, et que la moralité exclut les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une permission divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Privilèges sexuels du Prophète avec captives
Le verset 50 de la sourate Les coalisés accorde à Mahomet des privilèges exclusifs avec ses épouses, esclaves et captives, sans spécifier d'âge minimum, ce qui implique une absence d'interdiction pour des relations avec des mineures. Révélé à Médine, ce verset visait à établir des exemptions pour le Prophète. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, y voient une norme tolérant potentiellement la pédocriminalité via l'exemple prophétique, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les privilèges religieux du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset est spécifique au Prophète et vise à protéger ses relations, excluant les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une permission divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Mariage encouragé sans âge minimum
Le verset 32 de la sourate La lumière encourage le mariage des célibataires, y compris des esclaves, sans spécifier d'âge minimum, ce qui pourrait promouvoir des mariages précoces. Révélé à Médine, ce verset visait à favoriser les unions dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, notent que l'absence d'âge minimum peut légitimer la pédocriminalité dans certaines interprétations, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique souligne que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset promeut des unions morales et que la maturité est implicite, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Permission d'entrer sans demander pour enfants et esclaves
Le verset 58 de la sourate La lumière stipule que les enfants et les esclaves doivent demander la permission d'entrer à certains moments, ce qui implique leur vulnérabilité dans une société patriarcale. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les interactions domestiques. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, notent que cette règle expose les mineurs sans protections explicites contre la pédocriminalité, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique souligne que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset promeut la pudeur et protège les interactions, excluant les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas de protections explicites contre les abus sur mineurs. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure de respect, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence de protections explicites peut permettre des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Exemptions de voile pour enfants et eunuques
Le verset 55 de la sourate Les coalisés stipule que les femmes n'ont pas à se voiler devant les enfants ou les eunuques, ce qui implique une exposition potentielle des mineurs dans un cadre domestique. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler la modestie dans une société tribale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette exemption expose les mineurs à des risques sans protections explicites contre la pédocriminalité, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, où les interactions domestiques étaient moins réglementées, mais il est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que cette règle est spécifique au contexte du Prophète et vise à faciliter les interactions domestiques, excluant les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas de protections explicites contre les abus sur mineurs. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette exemption comme une mesure de commodité, sans aborder les implications pour les mineurs [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence de safeguards explicites peut permettre des abus dans certaines interprétations [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Interdictions matrimoniales sans âge minimum
Le verset 23 de la sourate Les femmes liste des interdictions matrimoniales (comme les mères ou les filles), mais ne spécifie pas d'âge minimum pour les mariages autorisés, laissant une possibilité d'unions avec des mineurs non prohibés. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler les unions dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette absence d'âge minimum peut légitimer la pédocriminalité dans certaines interprétations, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que ce verset protège les relations familiales et que la maturité est implicite, contrastant avec les critiques qui y voient une faille permettant des abus [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des mariages précoces. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent ces interdictions comme des mesures divines, sans aborder les mineurs [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Punition des femmes pour inconduite sexuelle
Le verset 15 de la sourate Les femmes ordonne de confiner les femmes coupables d'inconduite sexuelle jusqu'à leur mort ou un signe d'Allah, sans équivalent explicite pour les hommes, impliquant une vulnérabilité accrue pour les mineures. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler la moralité sexuelle dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette punition sévère peut inclure des mineures, sans protections explicites contre la pédocriminalité, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que cette punition a été abrogée par des versets ultérieurs sur la flagellation et vise à protéger la société, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant des abus [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas de protections explicites pour les mineures. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette punition comme une mesure divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence de protections explicites peut permettre des abus dans certaines interprétations [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Hommes héritant des veuves
Le verset 19 de la sourate Les femmes interdit d'hériter des femmes contre leur gré, mais permet de les épouser, sans spécifier d'âge minimum, ce qui peut inclure des mineures veuves. Révélé à Médine, ce verset visait à protéger les veuves des abus patrimoniaux dans une société patriarcale. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette règle traite les femmes, y compris potentiellement des mineures, comme des biens transmissibles, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que cette interdiction protège les femmes et que la maturité est implicite, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette règle comme une mesure divine de protection, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des protections sociales, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'âge minimum peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].
Épouses du Prophète remplaçables si désobéissantes
Le verset 5 de la sourate L'interdiction menace les épouses du Prophète de remplacement par de meilleures femmes si elles ne se repentent pas, sans spécifier d'âge minimum pour ces remplaçantes, ce qui peut inclure des mineures. Révélé à Médine, ce verset visait à réguler un conflit domestique impliquant les épouses du Prophète. Les critiques, comme ceux sur WikiIslam, estiment que cette menace dévalorise les femmes, y compris potentiellement des mineures, en les rendant interchangeables, reflétant des normes prémodernes [WikiIslam]. Une analyse académique note que ce verset reflète les pratiques du 7e siècle, mais est problématique aujourd'hui [Academia.edu].

Les apologètes, comme ceux de Yaqeen Institute, soutiennent que cette menace est spécifique au contexte du Prophète et vise à encourager la piété, excluant les abus, contrastant avec les critiques qui y voient une faille légitimant la pédocriminalité [Yaqeen Institute]. Cependant, le texte coranique ne mentionne pas d'âge minimum, ce qui peut permettre des abus. Les tafsirs traditionnels, comme celui d'Ibn Kathir, interprètent cette menace comme une admonestation divine, sans aborder les mineures [Tafsir Ibn Kathir].

Les analyses modernes, comme celles sur New Age Islam, proposent que ce verset est contextuel et lié à des normes historiques, mais les critiques sur Quora ou Reddit soulignent que l'absence d'interdiction explicite peut justifier des pratiques abusives [New Age Islam], [Quora]. Les discussions sur Reddit notent que ce verset, combiné à des pratiques historiques, reflète une vision prémoderne incompatible avec les normes modernes de protection des enfants [Reddit].


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